Le Réseau national de Lutte anti-corruption (REN-LAC) porte à la connaissance du monde des médias, l'ouverture de la 22ème édition du Prix de la Lutte anti-corruption (PLAC).
La présente édition est ouverte officiellement aux journalistes de presse écrite, de presse en ligne, de radiodiffusion et de télévision publiques ouprivées ayant leur siège social au Burkina Faso.

Ce formulaire est conçu pour les candidats aux Prix de la Lutte anti-corruption (PLAC) du REN-LAC. 

Le candidat devra remplir scrupuleusement tous les champs. L’absence d’une réponse ou tout dossier incomplet aura pour conséquence le rejet pur et simple de la candidature

Le Prix de la Lutte anticorruption (PLAC) est institué par le Réseau national de Lutte anti-corruption (REN-LAC) depuis 2000 pour récompenser chaque année les meilleures oeuvres journalistiques portant sur la corruption au Burkina Faso.
Au départ réservé à la presse écrite, le PLAC a, ensuite, été élargi à la radiodiffusion à partir de 2014 ; avant de prendre en compte, depuis 2023, la presse en ligne et la télévision.
Le PLAC a pour objectif d’encourager le travail journalistique sur la corruption et les infractions économiques au Burkina Faso.

Baromètre incontournable de la gouvernance nationale, le rapport annuel sur l'état de la corruption au Burkina Faso fait ressortir les résultats d’une enquête d’opinion des populations urbaines et semi-urbaines burkinabè sur la gestion du service public. Il procède à l’analyse des actions de lutte anti-corruption des acteurs étatiques et non étatiques, en vue de formuler des recommandations pertinentes.

La prise en compte du genre dans les activités de lutte anti-corruption peut accroître la mobilisation citoyenne contre le phénomène. C’est pourquoi en 2013, le REN-LAC avait jeté les premières esquisses d’une corrélation entre la corruption et le genre à travers une étude. Cette tendance semble aujourd’hui confirmée par les différents rapports annuels du REN-LAC sur l’état de la corruption. La plupart des rapports produits entre 2017 et 2021 indiquent une différence dans la perception ou les expériences de corruption en fonction du genre.